La ville actuelle conserve de son passé agricole un parcellaire très morcelé qui provient de plusieurs origines :
- les parcelles rurales, en lanières étroites et de grande profondeur,
- les terrains enclavés en coeur d’îlot ou résultant de divisions,
- les lotissements créés à partir de longues bandes, caractéristiques de la culture locale à prédominance maraîchère dont de nombreuses parcelles ne dépassent pas 100 m2.
Ces ensembles sont souvent desservis à partir de voies étroites, traversantes ou en impasses.
La zone pavillonnaire occupe les 3/4 du territoire et se prolonge au sud et à l’est sur les communes de la Garenne-Colombes, Bois-Colombes et Asnières.
Par son étendue, cette zone fait de Colombes la première ville pavillonnaire du département et lui vaut l’appellation de «ville aux 9 000 pavillons».
Les typologies d’habitat pavillonnaire :
- l’habitat bourgeois : villas cossues
- l’habitat individuel «ordinaire»
- l’habitat individuel ordonné : les lotissements
Ces typologies cohabitent et s’imbriquent fortement sur une grande part du territoire communal.